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Reine de la fourmi noire des jardins, "Lasius niger", et les premières ouvrières produites lors de la fondation de la colonie. La reine, spécialisée de naissance dans la ponte des œufs, a pour caractéristique de ne pas s’occuper des autres tâches nécessaires au bon fonctionnement de la colonie, puisque les ouvrières s’en chargent. Les scientifiques ont découvert qu'elle n'est pas intrinsèquement spécialisée dans la production d'œufs, mais que ce comportement est contrôlé par la présence des…

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Reine fourmi noire des jardins et les premières ouvrières produites lors de la fondation de la colonie
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Reine de la fourmi noire des jardins, "Lasius niger", s'occupant de son couvain (œufs, larves et cocons). La reine, spécialisée de naissance dans la ponte des œufs, a pour caractéristique de ne pas s’occuper des autres tâches nécessaires au bon fonctionnement de la colonie, puisque les ouvrières s’en chargent. Les scientifiques ont découvert qu'elle n'est pas intrinsèquement spécialisée dans la production d'œufs, mais que ce comportement est contrôlé par la présence des fourmis ouvrières…

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Reine fourmi noire des jardins s'occupant de son couvain
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Uniquement disponible pour exploitation non commerciale

La réalité virtuelle se met au service de la science. La cathédrale Notre-Dame de Paris a été entièrement numérisée par les chercheurs du CNRS, qui peuvent désormais s'immerger dans le double virtuel de l'édifice. A la Cité de l'architecture et du patrimoine, à Paris, grâce au Téléport conçu par Dassault Systèmes, les scientifiques accèdent à des matériaux désormais détruits ou à des parties inaccessibles de la cathédrale.

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Notre-Dame de Paris et son double virtuel
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Macaque japonais, "Macaca fuscata", se reposant paisiblement sur une route du parc national de Yakushima, au Japon. Les macaques n'y sont pas chassés et ils sont habitués au passage des voitures. Même le klaxon ne fait rien, il faut rouler doucement, certains ne se déplaçant qu'au contact du pare-chocs. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient…

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Macaque japonais sur une route du parc national de Yakushima, Japon
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Troupe de macaques japonais, "Macaca fuscata", traversant une route dans le parc national de Yakushima, au Japon. Les macaques n'y sont pas chassés et ils sont habitués au passage des voitures. Même le klaxon ne fait rien, il faut rouler doucement, certains ne se déplaçant qu'au contact du pare-chocs. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette…

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Troupe de macaques japonais traversant une route dans le parc national de Yakushima, Japon
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Mère macaque japonais, "Macaca fuscata", et son petit dans le parc à singes d'Arashiyama, à Kyoto, au Japon. Les singes y vivent en liberté mais sont nourris par les gardiennes pour éviter les vols dans les champs et les maisons avoisinants, perpétrés par des individus qui s'habituent au fil des générations à la tolérance humaine. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des…

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Mère macaque japonais et son petit dans le parc à singes d'Arashiyama, Kyoto, Japon
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Macaque japonais, "Macaca fuscata", sous une douce chute de neige dans le parc à singes d'Arashiyama, à Kyoto, au Japon. Les singes y vivent en liberté mais sont nourris par les gardiennes pour éviter les vols dans les champs et les maisons avoisinants, perpétrés par des individus qui s'habituent au fil des générations à la tolérance humaine. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en…

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Macaque japonais sous la neige dans le parc à singes d'Arashiyama, Kyoto, Japon
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Jeune macaque japonais, "Macaca fuscata", découvrant l'usage d'une pierre, un comportement culturel fascinant, dans le parc à singes d'Arashiyama, à Kyoto, au Japon. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe (nettoyage des patates douces à l'eau de mer, jeux de pierres, agglutinement pour se protéger de la météo, habituation à la tolérance humaine, etc.), transmises de génération en génération. Des scientifiques…

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Jeune macaque japonais découvrant l'usage d'une pierre dans le parc à singes d'Arashiyama, Kyoto, Japon
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Macaques japonais, "Macaca fuscata", rassemblés dans l'attente de fruits sur l'île d'Awajishima, au Japon. Alors que cette espèce est dite "agressive" et que les différentes familles d'un groupe ont d'habitude peu d'interaction, les 200 individus d'Awajishima sont tous connectés socialement. Cela pourrait être lié à des facteurs génétiques ou à l'insularité qui réduit la compétition avec d'autres groupes. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et…

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Macaques japonais rassemblés pour le nourrissage sur l'île d'Awajishima, Japon
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Instant intime d'un jeune macaque japonais, "Macaca fuscata", toiletté par sa mère dans les "onsen" de Jigokudani, au Japon. Les singes des montagnes de Nagano sont les seuls de l'archipel à se baigner dans les sources chaudes. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette évolution culturelle, en s'appuyant sur leur connaissance des dynamiques de…

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Jeune macaque japonais toiletté par sa mère dans une source chaude (onsen) de Jigokudani, Japon
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Moment de détente d'un macaque japonais, "Macaca fuscata", dans les "onsen" de Jigokudani, au Japon. Les singes des montagnes de Nagano sont les seuls de l'archipel à se baigner dans les sources chaudes. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe, transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette évolution culturelle, en s'appuyant sur leur connaissance des dynamiques de groupes (réseaux de…

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Moment de détente d'un macaque japonais dans une source chaude (onsen) de Jigokudani, Japon
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Macaques japonais, "Macaca fuscata", sur l'île de Shodoshima, au Japon. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe (nettoyage des patates douces à l'eau de mer, jeux de pierres, agglutinement pour se protéger de la météo, habituation à la tolérance humaine, etc.), transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette évolution culturelle, en s'appuyant sur leur connaissance des dynamiques de…

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Macaques japonais sur l'île de Shodoshima, Japon
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Agglomération de macaques japonais, "Macaca fuscata", appelée "sarudango" (brochette de singes), sur l'île de Shodoshima, au Japon. Quand il fait froid ou qu'il vente, les singes y forment des agrégats compacts d'une dizaine à une centaine d'individus. Ce comportement n'est pas partagé par les groupes installés dans des zones aux conditions météorologiques similaires. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe,…

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"Sarudango", un comportement propre aux macaques japonais de Shodoshima, Japon
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Macaque japonais, "Macaca fuscata", s'adonnant à la manipulation de pierres, un comportement culturel observé sur l'île de Shodoshima, au Japon. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe (nettoyage des patates douces à l'eau de mer, jeux de pierres, agglutinement pour se protéger de la météo, habituation à la tolérance humaine, etc.), transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette évolution…

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Macaque japonais manipulant des pierres, un comportement culturel observé à Shodoshima, Japon
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Gardienne du parc à singes de l'île de Shodoshima, au Japon, interagissant avec un macaque japonais, "Macaca fuscata". De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe (nettoyage des patates douces à l'eau de mer, jeux de pierres, agglutinement pour se protéger de la météo, habituation à la tolérance humaine, etc.), transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette évolution culturelle, en s'appuyant…

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Gardienne du parc à singes de l'île de Shodoshima, Japon, et un macaque japonais
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Macaque japonais, "Macaca fuscata" contemplant sereinement le lac Chuzenji enneigé, un paysage paisible du Japon. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe (nettoyage des patates douces à l'eau de mer, jeux de pierres, agglutinement pour se protéger de la météo, habituation à la tolérance humaine, etc.), transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette évolution culturelle, en s'appuyant sur…

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Macaques japonais contemplant le lac Chuzenji enneigé, Japon
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Tournage du film documentaire d'Aurélien Prudor "Saru", qui explore la transmission culturelle chez les macaques japonais, "Macaca fuscata", au Japon. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe (nettoyage des patates douces à l'eau de mer, jeux de pierres, agglutinement pour se protéger de la météo, habituation à la tolérance humaine, etc.), transmises de génération en génération. Des scientifiques étudient cette…

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Tournage du film "Saru" qui explore la transmission culturelle chez les macaques japonais, Japon
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Rencontre entre un cerf sika, "cervus nippon", et des macaques japonais, "Macaca fuscata", dans le parc national de Yakushima, au Japon. Les singes de cette île s'amusent à chevaucher les cerfs pour des rodéos qui peuvent durer plusieurs minutes. Les scientifiques cherchent à comprendre où et quand ces rodéos se produisent et le profil des individus qui s'y livrent. De la fin des années 40 à aujourd'hui, on a observé chez cette espèce des traditions et habitudes propres à chaque groupe,…

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Rencontre entre un cerf sika et des macaques japonais dans le parc national de Yakushima, Japon
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Pastoralisme dans les Alpes. A l’heure où l’érosion des sols menace nos sociétés en impactant la biodiversité, le stockage du dioxyde de carbone et les capacités de production alimentaire, il est fondamental d’étudier et de quantifier ses causes. L'analyse via la géochimie isotopique de sédiments prélevés dans le fond du lac du Bourget, en Savoie, a permis de reconstituer 10 000 ans d’évolution de l’érosion dans les Alpes européennes. Cette étude a établi que les effets des activités humaines l…

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Pastoralisme dans les Alpes
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Installation de l'espace de travail pour la numérisation des secteurs funéraires de la grotte de Foissac, dans l'Aveyron, avec à gauche le squelette surnommé Arthur. Cette image a été réalisée dans le cadre de l'étude des processus d'interaction culturels et biologiques entre les individus d'une même communauté et entre des groupes voisins dans le sud-ouest de la France au cours de la transition entre le Néolithique et l'Age du Bronze (3 000-1 300 avant l'ère commune). Les scientifiques…

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Numérisation des secteurs funéraires de la grotte de Foissac, Aveyron
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Modélisation du secteur funéraire du squelette surnommé Arthur, dans la grotte de Foissac, dans l'Aveyron, avec une des passerelles de circulation. Cette image a été réalisée dans le cadre de l'étude des processus d'interaction culturels et biologiques entre les individus d'une même communauté et entre des groupes voisins dans le sud-ouest de la France au cours de la transition entre le Néolithique et l'Age du Bronze (3 000-1 300 avant l'ère commune). Les scientifiques utilisent pour cela une…

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Modélisation du secteur funéraire du squelette surnommé Arthur, grotte de Foissac, Aveyron
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Numérisation des secteurs funéraires de la grotte de Foissac, dans l'Aveyron. Cette image a été réalisée dans le cadre de l'étude des processus d'interaction culturels et biologiques entre les individus d'une même communauté et entre des groupes voisins dans le sud-ouest de la France au cours de la transition entre le Néolithique et l'Age du Bronze (3 000-1 300 avant l'ère commune). Les scientifiques utilisent pour cela une approche qui combine archéologie, chronologie absolue, anthropologie et…

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Numérisation des secteurs funéraires de la grotte de Foissac, Aveyron
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Dans le centre de l'île de Honshu, au Japon, la température peut descendre jusqu’à -20 °C en hiver. Pour supporter ce froid glacial, les macaques japonais de Jigokudani ont pris l'habitude de se baigner dans les sources d’eau chaude naturelles qui ont fait la célébrité de ce lieu. Sur les deux cents singes que compte cette population, seule une quarantaine ont toutefois ce privilège. Lorsqu'un individu n'appartenant pas à cette caste dominante tente d’entrer dans les bassins, comme ce macaque…

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Les bains de la discorde
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Cheminées hydrothermales du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti, lors d’une mission de prélèvement de carottes sédimentaires. Le climat y est désertique chaud avec une forte activité hydrothermale. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les…

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Cheminées hydrothermales du lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Transport héliporté par l’armée française des équipements pour réaliser des carottages sédimentaires et des profils sismiques sur le lac Abhé, dans ce territoire isolé et extrêmement difficile d’accès dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous…

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Transport héliporté d'équipement pour sonder le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Flamants roses et cheminées hydrothermales du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti, lors d’une mission de prélèvement de carottes sédimentaires. Le climat de la dépression de l’Afar est désertique chaud avec une forte activité hydrothermale. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui…

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Flamants roses et cheminées hydrothermales du lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Plateforme de carottage sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Cette barge équipée d’un portique et d’un carottier est fixée au fond du lac à 10 km du rivage, où la topographie profonde semble idéale pour réaliser une longue carotte sédimentaire. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des…

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Plateforme de carottage installée sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Caravane de dromadaires ralliant l’Éthiopie à Djibouti, en passant par le secteur du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar. Ces marchands afars transportent à dos de dromadaires du café et du tabac. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les précipitations passées en…

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Caravane de dromadaires ralliant l’Éthiopie à Djibouti, dépression de l’Afar
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Acheminement d’une plateforme de carottage sur les eaux du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Cette barge de 4 mètres sur 4, équipée d’un portique et d’un carottier, sera fixée au fond du lac à 10 km du rivage. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les…

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Acheminement d’une plateforme de carottage sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Camion 4x4 de l’armée française transportant des équipements qui permettront de sonder le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti, lors d’une mission de prélèvement de carottes sédimentaires. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les…

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Camion 4x4 transportant des équipements pour sonder le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Un hélicoptère de l’armée française dépose sur le bord du lac Abhé des équipements pour réaliser des carottages sédimentaires et des profils sismiques, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Des sables mouvants empêchent toute approche par voie terrestre. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments…

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Transport héliporté d'équipement pour sonder le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Un hélicoptère de l’armée française dépose sur le bord du lac Abhé des équipements pour réaliser des carottages sédimentaires et des profils sismiques, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Des sables mouvants empêchent toute approche par voie terrestre. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments…

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Transport héliporté d'équipement pour sonder le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Plateforme de carottage sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Cette barge équipée d’un portique et d’un carottier est fixée au fond du lac à 10 km du rivage, où la topographie profonde semble idéale pour réaliser une longue carotte sédimentaire. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des…

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Plateforme de carottage installée sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Carottage sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Durant cette opération délicate, les scientifiques extraient des carottes dans des sédiments plus ou moins épais et durs, sans perdre les premières perforations, pour obtenir une séquence sédimentaire continue. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des…

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Carottage sur une plateforme installée sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Sédiment prélevé à 14 m de profondeur au sein du lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les précipitations passées en lien avec le processus de mousson. Ainsi la couleur du sédiment photographié indique…

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Sédiment prélevé à 14 m de profondeur au sein du lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Orage et tempête de sable sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti, lors d’une mission de prélèvement de carottes sédimentaires. Les équipes ont dû adapter leur manipulation pour maintenir des conditions d’exploration sécurisées. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous…

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Orage et tempête de sable sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Recensement des sections de carottes sédimentaires prélevées dans le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Il est impossible de prélever une carotte de plus de 10 mètres. Les scientifiques répètent donc l’opération jusqu’à atteindre le niveau souhaité. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des…

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Recensement des sections de carottes sédimentaires prélevées dans le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Transport héliporté par l’armée française des équipements pour réaliser des carottages sédimentaires et des profils sismiques sur le lac Abhé, dans ce territoire isolé et extrêmement difficile d’accès dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous…

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Transport héliporté d'équipement pour sonder le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti
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Installation d’un marteau pour transpercer les sols profonds sur une plateforme de carottage installée sur le lac Abhé, dans la dépression de l’Afar, en République de Djibouti. Autour de -9 000 ans, l’Afrique a connu une période très humide puis, à partir de -3 000 ans, une grande aridité. Ces variations climatiques sont enregistrées dans les lacs où se sont déposés, au fil des ans, des sédiments qui nous renseignent sur les températures et les précipitations passées en lien avec le processus…

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Manutention sur une plateforme de carottage sur le lac Abhé, dépression de l’Afar, Djibouti

CNRS Images,

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