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Les sportifs de hauts niveaux ne travaillent pas uniquement leurs muscles, ils entraînent également leurs cerveaux. C'est le cas avec la visualisation mentale. Une équipe de scientifiques du CNRS étudient l'activité cérébrale des athlètes lorsqu'ils s'imaginent réaliser des gestes techniques. Ils ont aussi mis au point un outil à disposition des sportifs pour intégrer l'imagerie motrice dans leur préparation.

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Dans la tête des athlètes
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Connaissez-vous les synapses, ces zones de contact qui permettent aux neurones de communiquer entre eux ? Le cerveau humain en dénombre un million de milliards ! Afin d'étudier en détail ce réseau très dense et complexe, les scientifiques plongent dans l'infiniment petit grâce à des techniques d'imagerie toujours plus performantes. Leur objectif : mieux appréhender le cerveau et les pathologies qui peuvent le toucher, telle la maladie d'Alzheimer.

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Notre cerveau en super résolution
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Alors que les JO de Paris approchent à grands pas, tous les athlètes s'entraînent pour grappiller encore quelques millimètres ou quelques centièmes de seconde. C'est là que la science peut entrer en jeu : analyses ultra-poussées, équipements de pointe ou environnements en réalité virtuelle, ce nouvel épisode de VaSavoir vous emmène à l'Institut des sciences du mouvement, à Marseille, où les chercheurs tentent d'améliorer les performances des plus grands athlètes... comme des sportifs du…

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Sport dopé par la science (Le) ? - Va Savoir #07
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Peut-on se passer de l'expérimentation animale ? Si pour l'instant, il est difficile de ne pas avoir recours aux animaux dans certains domaines de recherche, des alternatives commencent à voir le jour. C'est le cas de la peau reconstruite mise au point au Laboratoire d'Immunologie, Immunopathologie et Chimie Thérapeutique à Strasbourg. L'objectif est de créer un modèle qui possède les mêmes cellules et propriétés que notre peau.

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Une peau de labo
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Reine de la fourmi noire des jardins, "Lasius niger", et les premières ouvrières produites lors de la fondation de la colonie. La reine, spécialisée de naissance dans la ponte des œufs, a pour caractéristique de ne pas s’occuper des autres tâches nécessaires au bon fonctionnement de la colonie, puisque les ouvrières s’en chargent. Les scientifiques ont découvert qu'elle n'est pas intrinsèquement spécialisée dans la production d'œufs, mais que ce comportement est contrôlé par la présence des…

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Reine fourmi noire des jardins et les premières ouvrières produites lors de la fondation de la colonie
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Cellules microgliales (en jaune) dans la région de l'hypothalamus d'un cerveau de souris ayant consommé un régime alimentaire pro-inflammatoire enrichi en huile de tournesol, vues en microscopie confocale. Les lipides inflammatoires contenus dans cette huile sont suspectés d'être à l'origine du déclenchement de l'activation des cellules microgliales (des cellules du système nerveux central) qui développent alors une forme très ramifiée. Cette image a été produite dans le cadre d'une étude sur l…

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Cellules microgliales, hypothalamus d'un cerveau de souris, après un régime alimentaire riche en oméga 6
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Reine de la fourmi noire des jardins, "Lasius niger", s'occupant de son couvain (œufs, larves et cocons). La reine, spécialisée de naissance dans la ponte des œufs, a pour caractéristique de ne pas s’occuper des autres tâches nécessaires au bon fonctionnement de la colonie, puisque les ouvrières s’en chargent. Les scientifiques ont découvert qu'elle n'est pas intrinsèquement spécialisée dans la production d'œufs, mais que ce comportement est contrôlé par la présence des fourmis ouvrières…

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Reine fourmi noire des jardins s'occupant de son couvain
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Visualisation de la "profondeur sulcale" sur un cortex cérébral (la profondeur des sillons du cortex), obtenue par des algorithmes, avec les zones superficielles en rouge et les zones profondes en bleu. Le cortex est l'enveloppe externe du cerveau. Il participe aux fonctions cognitives liées à la sensorialité, au langage, à la motricité, etc. Chez l'humain, il présente une géométrie complexe composée de sillons qui augmentent la surface de cortex disponible pour les neurones et leurs connexions…

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Visualisation de la "profondeur sulcale" sur un cortex cérébral, obtenue par des algorithmes
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Portrait de Tâm Mignot, Médaille d'argent 2023 du CNRS, directeur de recherche en microbiologie et directeur du Laboratoire de chimie bactérienne. Myxococcus xanthus est une bactérie prédatrice essentielle à l'écologie des sols. Elle est capable de se déplacer en glissant sur des surfaces solides pour se nourrir d'autres micro-organismes. Elle est au coeur des travaux de renommée internationale de Tâm Mignot qui a notamment découvert le mécanisme moléculaire qu'elle…

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Médaille d'argent 2023 : Tâm Mignot, chercheur en microbiologie
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Portrait de Julie Déchanet-Merville, Médaille d'argent 2023 du CNRS, directrice de recherche en immunologie et directrice du laboratoire Immunologie conceptuelle, expérimentale et translationnelle. Après son doctorat en immunologie, Julie Déchanet-Merville se focalise sur les réponses immunitaires impliquées dans le contrôle des infections par le cytomégalovirus survenant chez les patients immunodéprimés. Elle démontre l'importance du rôle joué par les lymphocytes T de type…

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Médaille d'argent 2023 : Julie Déchanet-Merville, chercheuse en immunologie
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Portrait de Mathieu Letellier, Médaille de bronze 2023 du CNRS, chercheur en neurophysiologie à l'Institut interdisciplinaire de neurosciences, spécialiste des mécanismes moléculaires et cellulaires de la plasticité synaptique. La plasticité est l'incroyable capacité de notre cerveau à se réorganiser en fonction de notre environnement. Elle joue un rôle essentiel pendant le développement, mais aussi lors de processus adaptatifs comme l'apprentissage et la mémoire. À travers…

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Médaille d'argent 2023 : Mathieu Letellier, chercheur en neurophysiologie
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Portrait d'Amélie Bernard, Médaille de bronze 2023 du CNRS, chercheuse en biologie végétale au Laboratoire de biogenèse membranaire, spécialiste de l'autophagie et des processus d'adaptation des plantes. L'acclimatation des plantes aux contraintes environnementales est une question centrale dans les recherches d'Amélie Bernard. Après une thèse sur l'importance des lipides dans la réponse des plantes à la sécheresse, la chercheuse se concentre sur l'étude de l'autophagie au cours…

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Médaille d'argent 2023 : Amélie Bernard, chercheuse en biologie végétale
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Portrait de Sophie Achard, Médaille d'argent 2023 du CNRS, directrice de recherche en statistiques des réseaux, appliquées aux neurosciences au Laboratoire Jean Kuntzmann. Les recherches de Sophie Achard permettent d'analyser des réseaux sur lesquels se propagent des signaux. En utilisant pour la première fois la théorie des graphes en neurosciences, elle a remarquablement contribué à la compréhension du fonctionnement du cerveau humain. Ses recherches en collaboration ont également…

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Médaille d'argent 2023 : Sophie Achard, chercheuse en statistiques appliquées aux neurosciences
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Portrait de Sophie Abby, Médaille de bronze 2023 du CNRS, chercheuse en biologie évolutive au laboratoire Recherche translationnelle et innovation en médecine et complexité, spécialiste des mécanismes de diversification des procaryotes. Riche d'une double formation en biologie et en sciences computationnelles, Sophie Abby s'intéresse aux mécanismes d'évolution chez les procaryotes (bactéries et archées). La chercheuse conçoit des méthodes de calcul dans l'objectif d'analyser…

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Médaille de bronze 2023 : Sophie Abby, chercheuse en biologie évolutive
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Portrait d'Antone Coulon, Médaille de bronze 2023 du CNRS, chercheur en biologie au laboratoire Dynamique du noyau, spécialiste de la dynamique spatio-temporelle des chromosomes. Le noyau de nos cellules contient notre matériel génétique, mais est aussi le centre décisionnel pour l'expression des gènes. Cette fonction, essentielle pour l'organisme, fascine Antoine Coulon dont les recherches visent à mieux comprendre l'organisation, la dynamique et la mécanique des chromosomes…

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Médaille de bronze 2023 : Antoine Coulon, chercheur en biologie
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Portrait de Matthieu Pied, Médaille d'argent 2023 du CNRS, directeur de recherche en biologie cellulaire spécialiste des mécanismes de migration et de division des cellules au sein du laboratoire Biologie cellulaire et cancer. Physicien de formation, Matthieu Piel obtient un doctorat en biologie cellulaire en 2001, soulignant son engouement pour l'interdisciplinarité. Il s'intéresse à l'architecture des cellules en vue de comprendre comment ces dernières se déforment dans un…

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Médaille d'argent 2023 : Matthieu Piel, chercheur en biologie cellulaire
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Portrait de Léïla Perié, Médaille de bronze 2023 du CNRS, directrice de recherche en biologie cellulaire au Laboratoire physico-chimie Curie, spécialiste de la différenciation cellulaire des cellules sanguines. Leïla Perié mène des recherches originales sur la production des cellules immunitaires et sanguines et comment celles-ci s'adaptent aux demandes changeantes de l'organisme. Elle utilise des modèles mathématiques et des techniques expérimentales de pointe, lui permettant de suivre…

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Médaille de bronze 2023 : Léïla Perié, chercheuse en biologie cellulaire
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Visibles ou cachés du grand public, sublimes ou peu ragoûtants, les collections du Muséum national d'Histoire naturelle comptent des dizaines de millions de spécimens de presque toutes les espèces, disparues ou non, qui peuplent notre planète. Ils racontent à la fois l'histoire du vivant et celle des scientifiques qui l'ont étudiée, et révèlent des informations cruciales pour comprendre les mécanismes de l'évolution, ainsi que les changements qui affectent la Terre. Il est donc crucial de les…

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Gardiens des trésors du Muséum (Les) - Va Savoir #06
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Portrait de Sébastien Janel, Médaille de bronze 2023 du CNRS, ingénieur de recherche et coordinateur de la microscopie à force atomique de l'équipe Microbiologie cellulaire et physique de l'infection au Centre d'infection et d'immunité de Lille (CIIL). Sébastien Janel conçoit et réalise des expériences de microscopie à force atomique (AFM) au sein du Centre d'infection et d'immunité de Lille. Ce type de microscopie permet notamment d'analyser la surface d'objets à l'échelle…

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Médaille de cristal 2023 : Sébastien Janel, ingénieur en microscopie
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Portrait de Mathilde Paris, Médaille de bronze 2023 du CNRS, chercheuse en évolution et développement à l'Institut de génomique fonctionnelle de Lyon, spécialiste de l'étude bio-informatique de génomes animaux. Quelle est la différence entre une patte de crustacé et sa remplaçante régénérée après une amputation ? Aucune, le nombre et la proportion des types cellulaires sont identiques. Mais la régénération n'est pas pour autant une répétition du développement. Elle fait appel aux mêmes…

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Médaille de bronze 2023 : Mathilde Paris, chercheuse en évolution et développement
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Pourrait-on s'inspirer de la photosynthèse pour produire demain de l'énergie à partir de l'eau, de la lumière et du CO2 ? L'observation du phénomène au niveau d'une feuille permet de comprendre comment obtenir du carburant solaire. Imaginons qu'une maison corresponde à une feuille… Avec la photosynthèse artificielle il est possible de produire du gaz vert, notamment de l'hydrogène qui pourrait alimenter les besoins domestiques et recharger sa voiture.

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Comme les feuilles d'un arbre
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L'évolution anatomique de la colonne vertébrale des oiseaux révèle les propriétés mécaniques et les fonctions du cou. Et permet de concevoir des robots plus adroits, inspirés de la souplesse des vertèbres, et plus économes en énergie.

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Cou des oiseaux (Le)
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Patricia Rousselle est spécialisée dans la cicatrisation et la régénération de la peau. Cette directrice de recherche du CNRS au Laboratoire de biologie tissulaire et d'ingénierie thérapeutique étudie le dialogue entre les cellules, du derme comme de l'épiderme, et les protéines présentes dans leur microenvironnement. Ses travaux l'ont amenée à développer des traitements pour les grands brûlés, pour la cicatrisation post-chirurgie et sur les tumeurs qui touchent la peau. Patricia…

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Médaille de l'innovation 2023 : Patricia Rousselle, chercheuse en biologie cellulaire et tissulaire
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Claire Hellio développe des solutions innovantes bio inspirées, à partir de molécules actives produites par les algues et les microorganismes. Mené au Laboratoire des sciences de l'environnement marin, ce travail de valorisation, à l'interface entre la chimie, la biologie, la biochimie et l'écologie, est notamment réalisé via la plateforme de bioprospection Biodimar, que Claire Hellio dirige. Les applications visent principalement les domaines des cosmétiques (antioxydants et…

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Médaille de l'Innovation 2023 : Claire Hellio, chercheuse en biotechnologies marines
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Dans le cadre d'un partenariat entre l'Université d'Arizona et le CNRS, des scientifiques s'intéressent à la création du sol. Pour cela, deux expériences sont montées en parallèle. Aux Etats-Unis, au sein de Biosphere 2, trois immenses serres ont été remplies de basalte. En faisant pleuvoir sur cette roche, les chercheurs simulent l'origine du sol. Tandis qu'en France, en lisière de forêt de Fontainebleau, à l'Ecotron Ile-de-France, les scientifiques s'intéressent aux interactions entre les…

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Aux origines du sol
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C'est une algue microscopique qui vit... dans la neige ! "Sanguina nivaloides", de son nom scientifique, se laisse apercevoir au printemps lorsqu'elle teinte la neige d'un rouge sang. Direction le col du Lautaret, dans les Alpes, où biologistes et physiciens nous expliquent comment la neige se révèle être un étonnant écosystème dans lequel la vie tient toute sa place.

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Sang des glaciers (Le)
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Les cônes sont des gastéropodes marins présents dans tous les océans et à toutes les profondeurs. Ils représentent l'un des groupes de mollusques les plus abondants dans les fonds abyssaux. Il pourrait y avoir 30000 espèces au total. Ces coquillages produisent, pour attaquer leurs proies, des toxines qui sont de mieux en mieux étudiées au niveau moléculaire pour la diversité des peptides qu'elles contiennent. Ces composés moléculaires ont des propriétés similaires aux neurotoxines, aux…

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Venins guérisseurs de l'océan (Les)
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Their brains may be tiny, but they manage to find their way, communicate and even develop complex strategies to feed their communities... Social insects therefore demonstrate remarkable intelligence, which allows them to create real societies despite their brains being infinitely smaller than ours. But how can we actually measure the intelligence of an insect with which we have (almost) nothing in common? Head to the Animal Cognition Research Centre in Toulouse, where scientists have developed…

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Ants and bees: tiny animals with a vast intelligence - Va Savoir #04
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Des milliers de couples de Fous de Bassan se reproduisent chaque année sur l'île Rouzic, unique colonie française située au large des côtes bretonnes. Mais cette espèce d'oiseaux marin vient de subir, pour la première fois, une mortalité massive causée par le virus de l'Influenza aviaire. En étudiant le comportement des oiseaux encore vivants grâce à la pose de GPS miniaturisés, les scientifiques du CNRS sont parvenus à suivre plusieurs Fous de Bassan au coeur de l'épidémie. L'étude a été…

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Fou de Bassan face au virus (Le)
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Plus d'un an après sa mise à l'eau, BathyBot vient de s'éveiller au fond de la mer Méditerranée. Plongez aux côtés de ce robot téléopéré depuis la surface, le premier à être installé de façon permanente à 2400 mètres de profondeur pour au moins cinq ans. Accompagné d'un récif artificiel et d'une batterie d'instruments, BathyBot permettra d'étudier la biodiversité, la bioluminescence et les processus biogéochimiques des fonds marins. Imaginé scientifiquement par les équipes de…

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BathyBot, le robot des profondeurs
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Une jeune participante prend part à l’inoculation d’une souche bactérienne en l'absence d’oxygène, afin de synthétiser de l’hydrogène au laboratoire Bioénergétique et ingénierie des protéines. Avoir pu se mettre dans la peau d’une microbiologiste pour quelques heures l’incitera peut-être à poursuivre des études en sciences. Dans le cadre de la Fête de la science, le CNRS Provence et Corse organise chaque année "Les visites insolites du CNRS" de ses laboratoires. Ces rendez-vous se veulent…

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Inoculation d’une souche bactérienne afin de synthétiser de l’hydrogène au laboratoire BIP, Visite insolite du CNRS 2023
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Enregistrement d’un sujet marchant sur un tapis roulant motorisé lors d’une étude de la marche. Il est équipé de marqueurs réfléchissants passifs utilisés pour la capture du mouvement. Leurs déplacements sont détectés par des caméras, afin d’enregistrer la cinématique de la personne. L’objectif est de caractériser les paramètres spatio-temporels de la marche (vitesse, longueur de pas, durée d’appui) et les différents angles articulaires (angle de flexion du genou, rotation de la cheville, angle…

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Enregistrement d'un sujet lors d'une étude de la marche sur la Plateforme d’analyse du mouvement (Pam)

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