David Villa

David VILLA

Toulouse

David est photographe CNRS depuis plus de 20 ans. Il allie ses deux passions, la photographie et le monde de la science, en exerçant son activité auprès des acteurs de la recherche scientifique.

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Test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services des volleyeuses de l'équipe France Avenir 2024 féminine. Après un pré-test pour juger les performances initiales des joueuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu de temps après le geste initial, et devaient prédire la trajectoire du ballon afin de déterminer où se positionner pour jouer la…

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Test évaluant les effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Volleyeuses de l'équipe France Avenir 2024 s'entraînant, lors d'un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services. Après un pré-test pour juger les performances initiales des volleyeuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu de temps après le geste initial, et devaient prédire la trajectoire du ballon afin de déterminer où se positionner…

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Test évaluant les effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Prise de notes lors d'un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services des volleyeuses de l'équipe France Avenir 2024 féminine. Après un pré-test pour juger les performances initiales des joueuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu de temps après le geste initial, et devaient prédire la trajectoire du ballon afin de déterminer où se…

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Prise de notes lors de l'évaluation des effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Volleyeuse de l'équipe France Avenir 2024 munie des lunettes de suivi oculaire réceptionnant un service. Ces lunettes enregistrent les zones visuelles fixées par la joueuse, lors d'un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services. Après un pré-test pour juger les performances initiales des volleyeuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu…

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Réception d’un service lors de l’évaluation des effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services des volleyeuses de l'équipe France Avenir 2024 féminine. Après un pré-test pour juger les performances initiales des joueuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu de temps après le geste initial, et devaient prédire la trajectoire du ballon afin de déterminer où se positionner pour jouer la…

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Test évaluant les effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Volleyeuse de l'équipe France Avenir 2024 munie des lunettes de suivi oculaire s'apprêtant à réceptionner un service. Ces lunettes enregistrent les zones visuelles fixées par la joueuse, lors d'un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services. Après un pré-test pour juger les performances initiales des volleyeuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service…

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Réception d’un service lors de l’évaluation des effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Lunettes de suivi oculaire portées par des volleyeuses de l'équipe France Avenir 2024 lors d'un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services. Après un pré-test pour juger les performances initiales des volleyeuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu de temps après le geste initial, et devaient prédire la trajectoire du ballon afin de…

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"Eye tracker" utilisé pour évaluer effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services des volleyeuses de l'équipe France Avenir 2024 féminine. Après un pré-test pour juger les performances initiales des joueuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu de temps après le geste initial, et devaient prédire la trajectoire du ballon afin de déterminer où se positionner pour jouer la…

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Test évaluant les effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Volleyeuse de l'équipe France Avenir 2024 munie des lunettes de suivi oculaire s'apprêtant à réceptionner un service. Ces lunettes enregistrent les zones visuelles fixées par la joueuse, lors d'un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services. Après un pré-test pour juger les performances initiales des volleyeuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service…

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Réception d’un service lors de l’évaluation des effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Prise de notes lors d'un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services des volleyeuses de l'équipe France Avenir 2024 féminine. Après un pré-test pour juger les performances initiales des joueuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu de temps après le geste initial, et devaient prédire la trajectoire du ballon afin de déterminer où se…

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Prise de notes lors de l'évaluation des effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Volleyeuse de l'équipe France Avenir 2024 portant des lunettes de suivi oculaire. Ces lunettes enregistrent les zones visuelles fixées par la joueuse, lors d'un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services. Après un pré-test pour juger les performances initiales des volleyeuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu de temps après le…

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Volleyeuse portant un "eye tracker" pour évaluer les effets d’un entraînement perceptif
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Volleyeuse de l'équipe France Avenir 2024 munie des lunettes de suivi oculaire s'apprêtant à réceptionner un service. Ces lunettes enregistrent les zones visuelles fixées par la joueuse, lors d'un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services. Après un pré-test pour juger les performances initiales des volleyeuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service…

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Réception d’un service lors de l’évaluation des effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Entretien avec une volleyeuse de l'équipe France Avenir 2024, lors d’un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services. Après un pré-test pour juger les performances initiales des volleyeuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu de temps après le geste initial, et devaient prédire la trajectoire du ballon afin de déterminer où se…

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Entretien pour évaluer les effets d’un entraînement perceptif au volleyball
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Volleyeuse de l'équipe France Avenir 2024 portant des lunettes de suivi oculaire. Ces lunettes enregistrent les zones visuelles fixées par la joueuse, lors d'un test évaluant les effets d’un entraînement perceptif destiné à améliorer la qualité de réception des services. Après un pré-test pour juger les performances initiales des volleyeuses, une partie d'entre elles a suivi un entraînement perceptif durant 4 semaines. Elles ont visionné des vidéos de service, coupées peu de temps après le…

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Volleyeuse portant un "eye tracker" pour évaluer les effets d’un entraînement perceptif
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Anne-Laure Iscache est ingénieure en expérimentation et instrumentation biologique à l'Institut toulousain des maladies infectieuses et inflammatoires (Infinity). Spécialiste de cytométrie, elle accompagne et conseille les chercheurs en immunologie et cancérologie pour analyser et trier les cellules du système immunitaire. Au plateau de cytométrie et de tri cellulaire d'Infinity, Anne-Laure Iscache a mis en place une démarche mutualisée (coordination du personnel du plateau, des chercheurs et…

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Anne-Laure Iscache, médaille de cristal du CNRS 2022
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Anne-Laure Iscache est ingénieure en expérimentation et instrumentation biologique à l'Institut toulousain des maladies infectieuses et inflammatoires (Infinity). Spécialiste de cytométrie, elle accompagne et conseille les chercheurs en immunologie et cancérologie pour analyser et trier les cellules du système immunitaire. Au plateau de cytométrie et de tri cellulaire d'Infinity, Anne-Laure Iscache a mis en place une démarche mutualisée (coordination du personnel du plateau, des chercheurs et…

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Anne-Laure Iscache, médaille de cristal du CNRS 2022
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Anne-Laure Iscache est ingénieure en expérimentation et instrumentation biologique à l'Institut toulousain des maladies infectieuses et inflammatoires (Infinity). Spécialiste de cytométrie, elle accompagne et conseille les chercheurs en immunologie et cancérologie pour analyser et trier les cellules du système immunitaire. Ici, le cytomètre trieur de cellules est basé sur la technique de cytométrie de flux. Il permet d’isoler et de récupérer une ou plusieurs populations cellulaires selon des…

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Anne-Laure Iscache, médaille de cristal du CNRS 2022, devant un cytomètre trieur de cellules
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Anne-Laure Iscache, médaille de cristal du CNRS 2022, discute avec un doctorant de la stratégie à utiliser pour trier les populations cellulaires d’intérêt d'un échantillon. Anne-Laure Iscache est spécialiste de cytométrie à l'Institut toulousain des maladies infectieuses et inflammatoires (Infinity) où elle accompagne et conseille les chercheurs en immunologie et cancérologie pour analyser et trier les cellules du système immunitaire. Au plateau de cytométrie et de tri cellulaire d'Infinity,…

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Anne-Laure Iscache, médaille de cristal du CNRS 2022, discute avec un doctorant
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Isabelle Favier est ingénieure en chimie au Laboratoire hétérochimie fondamentale et appliquée (LHFA). Spécialiste en catalyse organométallique et nanocatalyse, elle collabore principalement avec l’équipe SyMAC de son laboratoire qui s’intéresse à la synthèse de catalyseurs et leurs applications en synthèse de composés organiques, afin d’étudier leurs réactivités. La recherche de cette équipe est centrée sur le développement de nouveaux systèmes catalytiques (principalement catalyseurs…

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Isabelle Favier, médaille de cristal 2022, discute d’une réaction chimique avec ses collaborateurs
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Isabelle Favier est ingénieure en chimie au Laboratoire hétérochimie fondamentale et appliquée (LHFA). Spécialiste en catalyse organométallique et nanocatalyse, elle s'intéresse notamment au développement de procédés respectueux de l'environnement. Ici, elle manipule des autoclaves "chimiques", ce sont des réacteurs chimiques en inox qui peuvent supporter des pressions de l’ordre de 100 bars, pour des volumes de 50-150 mL. Isabelle Favier participe, en collaboration avec la Maison européenne…

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Isabelle Favier, médaille de cristal 2022, manipule un réacteur chimique sous pression de gaz
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Isabelle Favier est responsable des systèmes de purification de solvants avec un adjoint technique, et du plateau de réaction sous hautes pressions au Laboratoire hétérochimie fondamentale et appliquée (LHFA). Elle a aussi été responsable des boîtes à gants pendant 9 ans. Spécialiste en catalyse organométallique et nanocatalyse, elle s'intéresse notamment au développement de procédés respectueux de l'environnement. Ici, elle manipule un boa, bras d’aspiration orientale articulé, utilisé pour…

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Isabelle Favier, médaille de cristal 2022 et coresponsable des systèmes de purification de solvants
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Isabelle Favier est ingénieure en chimie au Laboratoire hétérochimie fondamentale et appliquée (LHFA). Spécialiste en catalyse organométallique et nanocatalyse, elle s'intéresse notamment au développement de procédés respectueux de l'environnement. Ici, elle tient un goniomètre de Wollaston du fabriquant J&A Duboscq (1849-1898) car elle s’intéresse également à l’histoire des instruments de mesures anciens. Pour certains, elle les expose accompagnés d’une étiquette explicative dans la salle de…

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Isabelle Favier, médaille de cristal 2022, tient un goniomètre de Wollaston
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Audrey Dussutour est directrice de recherche au Centre de recherches sur la cognition animale (CRCA - CBI) et spécialiste du comportement animal. Depuis le début de sa carrière, elle mène des actions de médiation scientifique sur la recherche des comportements collectifs d’insectes sociaux comme la fourmi, mais surtout sur son modèle fétiche : le "blob". Dans le cadre de l'année de la biologie 2021/2022, Audrey Dussutour conduit le projet de science participative "Derrière le blob, la recherche…

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Audrey Dussutour, spécialiste mondiale du blob et médaille de la médiation scientifique du CNRS 2021
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Boîtes de Petri contenant "Physarum polycephalum", nom scientifique du blob et sa nourriture (flocons d'avoine). Il s'agit ici d'une étape de la préparation des blobs pour l'expérience de science participative "Derrière le blob, la recherche". Elle consiste à laisser le blob quitter sa nourriture pour explorer la boîte de Petri. Par la suite, la nourriture est enlevée des boîtes pour que les blobs se transforment en sclérotes. Un sclérote est le nom donné au blob lorsqu'il est en dormance. En…

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Boîtes de Petri contenant des blobs et leur nourriture sur du papier filtre pour réaliser des sclérotes
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Étape de préparation des blobs pour l'expérience "Derrière le blob, la recherche". Ces fragments, en dormance, sont découpés puis envoyés par le CNRS aux volontaires sélectionnés pour réaliser l'expérience de science participative "Derrière le blob, la recherche" entre mars et juin 2022. Pour raviver un sclérote et débuter l'expérience, il suffit aux scientifiques amateurs de le réhydrater en le trempant dans l'eau. Cette expérience permettra d’étudier l’impact du changement de température et…

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Découpage de sclérotes de blobs dans le cadre de l'expérience "Derrière le blob, la recherche"
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Audrey Dussutour est directrice de recherche au Centre de recherches sur la cognition animale (CRCA - CBI) et spécialiste du comportement animal. Depuis le début de sa carrière, elle mène des actions de médiation scientifique sur la recherche des comportements collectifs d’insectes sociaux comme la fourmi, mais surtout sur son modèle fétiche : le "blob". Dans le cadre de l'année de la biologie 2021/2022, Audrey Dussutour conduit le projet de science participative "Derrière le blob, la recherche…

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Audrey Dussutour, spécialiste mondiale du blob et médaille de la médiation scientifique du CNRS 2021
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Mise en sachet des sclérotes de blobs par la spécialiste du blob Audrey Dussutour et la technicienne Émilie Pasquier. Ces fragments de blobs en dormance sont envoyés aux volontaires sélectionnés pour réaliser l'expérience de science participative "Derrière le blob, la recherche" entre mars et juin 2022. Pour raviver un sclérote et débuter l'expérience, il suffit aux scientifiques amateurs de le réhydrater en le trempant dans l'eau. Cette expérience permettra d’étudier l’impact du changement de…

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Mise en sachet des sclérotes de blobs dans le cadre de l'expérience "Derrière le blob, la recherche"
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Audrey Dussutour est directrice de recherche au Centre de recherches sur la cognition animale (CRCA - CBI) et spécialiste du comportement animal. Depuis le début de sa carrière, elle mène des actions de médiation scientifique sur la recherche des comportements collectifs d’insectes sociaux comme la fourmi, mais surtout sur son modèle fétiche : le "blob". Dans le cadre de l'année de la biologie 2021/2022, Audrey Dussutour conduit le projet de science participative "Derrière le blob, la recherche…

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Audrey Dussutour, spécialiste mondiale du blob et médaille de la médiation scientifique du CNRS 2021
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Mise en sachet des sclérotes de blobs par la spécialiste du blob Audrey Dussutour et la technicienne Émilie Pasquier. Ces fragments de blobs en dormance sont envoyés aux volontaires sélectionnés pour réaliser l'expérience de science participative "Derrière le blob, la recherche" entre mars et juin 2022. Pour raviver un sclérote et débuter l'expérience, il suffit aux scientifiques amateurs de le réhydrater en le trempant dans l'eau. Cette expérience permettra d’étudier l’impact du changement de…

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Mise en sachet des sclérotes de blobs dans le cadre de l'expérience "Derrière le blob, la recherche"
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Audrey Dussutour est directrice de recherche au Centre de recherches sur la cognition animale (CRCA - CBI) et spécialiste du comportement animal. Depuis le début de sa carrière, elle mène des actions de médiation scientifique sur la recherche des comportements collectifs d’insectes sociaux comme la fourmi, mais surtout sur son modèle fétiche : le "blob". Dans le cadre de l'année de la biologie 2021/2022, Audrey Dussutour conduit le projet de science participative "Derrière le blob, la recherche…

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Audrey Dussutour, spécialiste mondiale du blob et médaille de la médiation scientifique du CNRS 2021
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Étape de préparation des blobs pour l'expérience "Derrière le blob, la recherche". Ici, les blobs et leur nourriture sont transférés sur du papier filtre pour être endormi. Le blob entre alors en dormance et on le nomme sclérote. En effet, le blob a la capacité d'entrer dans un état dormant lorsque les conditions environnementales se détériorent (manque de nourriture et absence d’eau). Par la suite, ces sclérotes sont découpés puis envoyés aux volontaires sélectionnés pour réaliser l'expérience…

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Transfert de blobs et de leur nourriture sur des papiers filtres pour les rendormir
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Mise sous pli des sclérotes de blobs dans le cadre de l'expérience "Derrière le blob, la recherche". Un sclérote est le nom donné au blob lorsqu'il est en dormance. En effet, le blob a la capacité d'entrer dans un état dormant lorsque les conditions environnementales se détériorent (manque de nourriture et absence d’eau). C’est sous cette forme de sclérote que les blobs peuvent être transportés facilement et que le CNRS les envoie aux volontaires sélectionnés pour l'expérience de science…

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Mise sous pli des sclérotes de blobs dans le cadre de l'expérience "Derrière le blob, la recherche"
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La chercheuse Audrey Dussutour et la technicienne Émilie Pasquier dans le cadre de l'expérience "Derrière le blob, la recherche". Ce projet de science participative permet à plusieurs milliers de volontaires de prendre part à un projet de recherche. Il a pour objectif d’étudier l’impact du changement de température et donc du changement climatique sur le développement du blob. Ici, l'éthologue et la technicienne ont préparé des sclérotes de blobs : un état dormant très résistant aux conditions…

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La spécialiste du blob Audrey Dussutour et la technicienne Émilie Pasquier dans le cadre de l'expérience "Derrière le…
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Étape de préparation des blobs pour l'expérience "Derrière le blob, la recherche". Ici, la nourriture des blobs (flocons d'avoine) est enlevée du papier filtre pour ne conserver que les blobs. Ainsi privés de leur nourriture, les blobs se transforment en sclérotes (état dormant). Par la suite, ils sont découpés puis envoyés par le CNRS aux volontaires sélectionnés pour réaliser l'expérience de science participative "Derrière le blob, la recherche". Cette expérience a lieu entre mars et juin…

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Préparation des sclérotes de blob dans le cadre de l'expérience "Derrière le blob, la recherche"
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Une partie de la façade du nouveau bâtiment du Centre de biologie intégrative (CBI). Le CBI est relié physiquement au bâtiment de l'Institut de Biologie Cellulaire et Génétique (IBCG) pour faciliter les échanges entre la quarantaine d’équipes de recherche. Sa construction a été piloté par Bertrand Griffe en collaboration avec la délégation régionale. Bertrand Griffe est ingénieur spécialisé en maintenance des bâtiments au CBI. Ses travaux lui valent de recevoir la médaille de cristal du CNRS…

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Une partie de la façade du Centre de biologie intégrative
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Bertrand Griffe est ingénieur spécialisé en maintenance des bâtiments au Centre de biologie intégrative (CBI) de Toulouse. Il assure le bon fonctionnement des infrastructures du CBI dont il a piloté, de concert avec la délégation régionale, la construction des 12 400m² de laboratoires, de plateformes technologiques et de bureaux. En tant que responsable du pôle logistique, il a aussi encadré la mutualisation du pôle logistique, au service d’une quarantaine d’équipes de recherche, optimisant…

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Bertrand Griffe médaille de cristal du CNRS 2022
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Bertrand Griffe est ingénieur spécialisé en maintenance des bâtiments au Centre de biologie intégrative (CBI) de Toulouse. Il assure le bon fonctionnement des infrastructures du CBI dont il a piloté, de concert avec la délégation régionale, la construction des 12 400m² de laboratoires, de plateformes technologiques et de bureaux. En tant que responsable du pôle logistique, il a aussi encadré la mutualisation du pôle logistique, au service d’une quarantaine d’équipes de recherche, optimisant…

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Bertrand Griffe médaille de cristal du CNRS 2022
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Pauline Assemat est chercheuse en biomécanique. Elle est spécialiste de l’étude de la mécanique des tissus biologiques poreux à l'Institut de mécanique des fluides de Toulouse (IMFT). Elle y étudie des pathologies pédiatriques osseuses et plus particulièrement l’ostéosarcome (tumeur primaire de l’os la plus fréquente chez les adolescents et les jeunes adultes) et la scoliose idiopathique (qui n’a pas de cause connue) de l’adolescent. Son approche consiste à modéliser la pathologie sur des…

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Pauline Assemat, chercheuse en biomécanique et médaille de bronze du CNRS 2022
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Pauline Assemat est chercheuse en biomécanique. Elle est spécialiste de l’étude de la mécanique des tissus biologiques poreux à l'Institut de mécanique des fluides de Toulouse (IMFT). Elle y étudie des pathologies pédiatriques osseuses et plus particulièrement l’ostéosarcome (tumeur primaire de l’os la plus fréquente chez les adolescents et les jeunes adultes) et la scoliose idiopathique (qui n’a pas de cause connue) de l’adolescent. Son approche consiste à modéliser la pathologie sur des…

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Pauline Assemat, chercheuse en biomécanique et médaille de bronze du CNRS 2022

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